Il y a de ça fort longtemps, a l'époque ou les poêtes vivait de leurs arts, marcher en chantant a tu tête, éxalter l'amour et la vie, a une époque ou la vie avait un sens de béatitude, pas de guerre ni de haine.
Je vivais au crochet des Lords qui adorer l'idée d'arborer un humaniste dans leurs courts, je ne disais rien pensant que heureux étaient les gens simple, hé mon dieu ce qu'il sembler heureux....
Pour ma part je ne prit peu part a la guerre moi l'homme de lumiére mais voila c'ets le destin moi qui était maitre de mots me voila devenu maitre de guerre!
Vous connaisez surement de ces matins de félicité ceux qui vous donne la sensation d'être invinsible a qui rien ne peu arriver c'était de cette époque que je vous parler plus haut, voila je me mit en tête de trouver l'amour moi qui l'éxalter depuis si longtemps je commencer a fourmiler de ne pas le connaitre, j'écumer les salons ou l'on s'offrait mes servirces mais rien, que de badinerie me semble t'il, mais un jour un servante qu'elle était belle son nom je n'est pus le retenir mais ce visage, ces yeux, ces formes, cette douceur, elle respirait l'amour elle était ma muse, mon égérie, je venais de trouver ma Bohême, ma bohême, mi ange mi démon de l'âme, ce fut sans doute l'un des rares moment de cette vie ou je me suis sentit si vivant, si chaleureux peu être même je croyais en mes poêmes, qui seul pour moi n'avait pas de sens, nous passâme la nuit ensemble, les étoile ce reflétés dans ces yeux, la sueur exprimer l'intensité du moment, c'était a mon sens le paradie.
Je ne pouvais décement la laisser a son staut d'exclave de chambre, je négocier sa vie en échange de service ou même de prodige mais cette pupille était convoiter par le seigneur de la démeure lui aussi moin ardi la désiré et me jeta dehors quand je lui avoua mon amour, mis en disgrace je ne savais que faire, j'ai donc prit sur moi de la faire sortir pour que elle est moi puissions s'enfuir.
Notre projet terminer, main dans la main sur les chemins, avec nos regret dans le miroir des nuages, nous avancâmes, un midi dans une des contré environante du chateau, je fit la connaisance par mégarde de Spear qui lui dans le plus grand des secret réunisser des chevaliers pour servir une cause juste, je disé je fit connaissance de cette homme voyant la misére de mes vétements me demandat ce que je chercher, je lui répondit "rien", qu'avai'je donc besoin de plus, ma muse était avc moi, nous étions en vie, j'avais mon encre et mes plumes, pas besoin d'autres chose lui répondi'je, son rire m'étonna il me demandat si je savais me battre, je penser que l'esprit était la plus forte des armes, il rillat de plus fort, il me désigna une adresse en me demandant d'aller a cette assemblé qui se formerat sous peu, moi quelque peu abasourdit acceptat, c'était le mystére qui entourait ces propos qui me donnat l'envie d'y assister.
Plus tard dans la soiré dans cette petite maison de campagne, s'alignait quelque ranger de chaise, un pupitre, une cheminer, un lustre plein de bougie, le décors quelque peu sobre me donneit la chaire de poule, l'homme qui se tenait debout au pupitre était l'homme connut plus tôt, il retira ces haillons, une armure resplendiser a la lueur des bougie et contraster d'un halo chaleureu cette ambiance pessante, puis des hommes et des femmes commancer a rentrer et a s'asoir nous n'étions tout eu plus qu'une demi douzaine, mais jamais je noublirai leurs visages et certains de leur prénom, il y avait tout d'abord Nessa, cette femme guerriére, Lord Vilek, le futur général en chef des armée, il était affubler d'un écuyer du nom de Acalon, St Louis le diplomat sembler t'il sappeler je préfére l'appeler le Juste ca lui coller mieu et Felbran, cette ami de lumiére que j'avais déja rencontrer et avec qui j'adorer discuter il était peu être pour un moi un formateur de l'esprit avec des théories hutopiste tout a fait gégnial, Spear rompat le silence en nous décriava une histoire, je penser pour ma part que c'était un rêve mais bon, il nous offrit a nous de l'or, une chambre, et surtout un titre de noblesse, car pour lui nous étions de ceux qui changerai le cour de l'histoire mais comment? moi se simple poête qui venait de conanitre l'amour???, nous acceptâme tous car sont rêve était si palpable et si humaniste pour ma part, que je ne me voyais pas refuser, notre roi m'apprit a me battre et même si je répugner a le faire il devenait urgent des ostrogoths menacer nos contrés, nos familles, plusieurs lune on précédé cette guerre, je vit partir mes amies, certains mort au combat d'autres partit pour soutenir nos forces ailleurs, ou l'on disait que des hommes d'honneur se battait pour des causes juste, mais le pire de tout, notre roi commencer a faiblir de son rêve, la rage n'écumait plus son regard il se sentait las de tout ça, malgrer les exploits que nosu avions accomplit; malgrer la paix que nosu avions apporter, il n'était plus si heureux, et qui autre que moi ne pouvait comprendre son désespoir, ni lui ni moi n'avions connus nos enfants, ne les avait vue grandir, il sembler prendre 10cm a chaque entre deux guerre que nosu connaisions, mes enfants sembler avoir 7ans quand je suis mort, ou plutôt, laisser pour mort, une victime d'une de ces nouvelles guerre, un nécromancien avide de pouvoir avait réussi a tuer mon corp mais pas mon âme je parcouru la Terre et vut mes amies périr sans jamais les aider, je vie ma femme mourir de chagrins a pleurer mes départs mais sans pourvoir la consoler, je ne sais combien de temps, la roue du temps ma fait défault je voyais de nouvelle tête arriver dans notre chateau, des tête que j'avais a peine entrevue avant ma mort il y avait Lorril Hastur, Lord Vaako, deux gaillard l'air entiérement opposer des fois je me demandait vraiment ce qui animer notre roi a prendre dres gens sous sa coupe, que voyait t'il en eux? je savais que bon nombre d'homme nous avait rejoints pendant ma vie et était rester même aprés ma mort, il y avait toujour mon garde du corp Faradn, mon ami Lord Vilek, les sergents Paddy et Igor, nous avions des soldat hors norme telle que PeterFanch, et jepense que la était le vrai suplice de ma condition je ne pouvais strictement rien faire, en aider aucun, en saluer aucun, et le pire je ne pouvais pleurer aucune larmes des mort que je ne revoyait revenir du champs d'honneur, un jour je décidat de quitter les murs du chateau je voulait voir si le monde sembler si triste que je le penser, je vis mille paysage aprit mille connaiscance qu'il était imposible d'apliquer je n'avais pas de corps, ni impossible d'instruire mais bon lors de mes voyages je reconnut des tombes, certaine porter le nom d'homme que j'avais tuer d'autre le nom de mes ami machinallement je chercher la mienne, mais hélas ce n'était pas ici sembler t'il que j'était entérre , bref je repris mon chemin, en route j'entendit des hurlement je m'approcher, je reconnut ce visage un de nos énemies Bebsouille, un homme du bien qui c'était avilie avc le mal, je l'entendait hurler a me casser les oreilles, mais je ne voyais pas son corop bouger dous provener ces sons je m'approcher c'était son âme qu'on était entrain de tuer et dans un soufle court plus un son ne parvener a mes oreille, je m'approcher un peu plus jusqua vouloir entendre son poux, et en un instant un bouffé d'air me déchirat les poumons des sons venus de toute part, du sang sur main, des mains?? j'avais des pieds, une armure un visage mais comment??? je me retourner pour regarder Bebsouille mais plus personne, plus aucun soldat blaiser et la, la un étrange impréssion s'empara de moi, je fouille sa monture, trouvat un miroir, me regarda et avc stupeur je fondit en larme et brissat le mirroir ce visage était celui de Bebsouille, aprés quelques nuits a penser , je décidat de partir pour le chateau mais j'avais peur comment allait t'il me croire? comment allait t'il m'accueilir? comment? trop de comment envahissait mon esprit, j'ai parcourue les milles qui me séparait du chateau et comme je me doutait je me suis fait arrété personne ne pouvait me croire et préter allégence sous ce strait était du suicide, connaissant bien les lois du chateau je demandat a être vue par le roi, ce qui signifiat que c'était sois la mort ou la vie qui m'attender de cette entrevue, mais par malchance je n'avais pas penser que le nouveau garant de l'ordre était Lorril Hastur comment faire il me connaisait a peine, je l'implorat de faire venir le roi, seul lui pouvait me reconnaitre, aprés moulte torture pour me faire avouer qui j'était et pourquoi le roi Spear absolument je me suis résolut de dire la vérité, certains rires d'autres apeurer demander a ce qu'on me brule, mais pas Lorril Hastur, le doute l'avait t'il prit je ne savais pas et d'ailleur je ne lui est jamais demander, préférant éffacer ce triste souvenir de ma mémoire, le roi apparue dans l'hâtre du cacheau, un regard sceptique, une main sur son épée prête a faire son devoir, on me levat, me mit d'égal a égal avc le roi, nos regard se croisa un instant je ne savait plus vraiment ce que je faiseait la, qui nous étions, la douleur emplissait dans ma chair, mais son regard restat résolument le même, il me posat, 2 questions, une sur notre rencontre, et la derniére sur ce qui nous rapprocher le plus, qu'elle était sa peine, sans mal je répondit il me regardat comme plonger dans mon âme me fit libéré et soigner, j'était revenus, je reprenais ma vie en main, avc un visage qui n'était pas le mien et dont il fallait que je m'habitue je penser écouler des jours heureux mais a peine revenus, c'était le branle bas de combat, la plus térrible des guerres se présenter sous nos yeux, cette guerre nous était bénite car elle anoncer le retour de 2chevaliers notre roi feasait résoner son bouclier en le marteler de sa hache et moi, moi le poete maudit a peine revenue des mort, mais bon cette fois peu être au lieu de retrouver un corp je retourverai mon amour, sur ce champs de bataille.....
Depuis moultes agitations régnat sur le contée je partit rejoindre mon maître a pensée, les choses n'était plus les même, je comprit que la lois ne fesait plus les hommes mais que les hommes fesait les lois, je quittat mes anciens amis, j'eu le coeur déchirai en entendant le môts traitre résonner, j'avais connus tant d'hommes et de femmes, avec certain j'avais construit ma chomiére ou aidat a faire le leur, telle dâme Arwen, tant de temps avait passer depuis que notre roi avait fonder notre communauté tant de temps passer face aux légions et aux triades, tant de temps passer depuis que notre roi armée de ces courageux avait ramener l'orbe de la justice, tant de temp passée, lesable a sa course sans fin et les mots ne sont que des mots c'est la triste conclusion que j'ai tirait de ma formidable aventure en tant que bras droit du Roi Spear et de la Légende des Chevaliers Vertueux......
Voila j'ai finis lol un peu long mais je pense avoir compter le plus fidéllement possible l'histoire des Chevaliers Vertueux.